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The Runner (Hebrews 12.1-13)

I have been reminding you almost every week of this series that Hebrews is a letter written to first century urban Christians who were so beaten down by life that they were ready to give up.  The author is writing to this group of people to encourage them to stay the course, to hold on, to stand firm and to not give up their faith.

I want to suggest to you that becoming people who can handle the difficulties and brutalities of life is perhaps even more necessary now than it was for these readers to whom the epistle is addressed. Why it that? Because there has never been a culture that was less ready to handle difficulties, suffering and death that modern western culture.

We try to remove the sight of suffering and death far from us.  Yet, we have seen many resources that the author of Hebrews gives to first century urban Christians to deal with the brutalities of life and death and we come now to a climax of the letter.

He wants them to know that life is a race; not a sprint but a marathon and there is only one way they will ever finish. What is it? Let’s find out together.

Je vous rappelle depuis plusieurs semaines que cette épitre aux Hébreux fut destinée à des Chrétiens citadins abattus par les difficultés de la vie et sur le point d’abandonner. L’auteur leur écrit pour les encourager à rester dans la course, de tenir bon, de ne pas abandonner leur foi.

J’aimerais vous suggérer l’idée que de devenir un peuple qui sait affronter les difficultés et la brutalité de ce monde est peut-être plus nécessaire que maintenant que ça ne le fut pour les destinataires de cette épitre. Pourquoi cela ? Parce qu’il n’y a jamais eu de culture moins préparée à affronter les difficultés, les souffrances et la mort que notre société occidentale moderne.

Nous essayons d’éloigner la souffrance et la mort de notre vue. Cependant nous avons vu toutes les ressources que l’auteur de l’épitre donna aux Chrétiens urbains  du premier siècle pour lutter contre la brutalité de ce monde et nous arrivons maintenant au pinacle de cette lettre.

Il veut qu’ils sachent que la vie est une course, pas un sprint mais un marathon et qu’il n’existe qu’une façon de terminer. Laquelle ? Découvrons cela ensemble.